Les citations liées à "Luc Dietrich"

Top des Tops - Europe 1, le 04/12/1988

Il y a un livre que j’ai découvert qui s’appelle L’Apprentissage de la ville, qui est de Luc Dietrich, que je me permets de conseiller à beaucoup de personnes.
Il y a une préface qui est magnifique, et je vais prendre un petit passage au hasard : « Faire passer ses souvenirs pour une histoire qu’on invente, se décrire tel quel sous un nom d’emprunt, entrer en scène sous un masque n’est pas un mensonge. C’est le plus souvent le seul moyen de tout dire sans offenser la pudeur, ni trahir les secrets qu’il faut respecter. Faire passer des fictions pour ses propres mémoires, se prendre et se faire prendre pour un personnage de son choix, c’est mentir. Pourquoi ? Je vous le demande… pourquoi ? »

Télé 7 Jours, le 05/12/1988

Pour moi, l’amour est fondamental pour la créativité. J’aime beaucoup cette phrase du romancier Luc Dietrich, qui dit que « L’amour est un grand courage inutile ».

Stars Magazine, le 01/03/1989

Je vous recommande L’apprentissage de la ville et Le bonheur des tristes de Luc Dietrich. Il est mort d’une blessure de guerre alors qu’il écrivait un troisième bouquin sur les hôpitaux psychiatriques.

Fréquenstar - M6, le 22/03/1989

J’aime beaucoup Baudelaire. J’aime beaucoup Edgar Poe, Luc Dietrich. J’aime beaucoup le théâtre de Strindberg, mais il y en a tant d’autres. Je cite un petit peu, c’est vrai, toujours les mêmes parce que ce sont effectivement des livres de chevet.

France Soir, le 07/12/1989

Peut-être qu’un jour j’écrirai des romans. Mais j’aimerais qu’on puisse dire, comme dans cette préface de Lanza Del Vasto à propos de Luc Dietrich : « C’est un peu comme ces auteurs russes qui écrivent avec leur sang ».