Les citations liées à "Nudité"

TV Vidéo Jaquettes, le 01/06/1986

Ce n’est jamais nécessaire de se dénuder, c’est toujours accessoire et c’est bien ou malvenu, vulgaire ou aussi normal que boire une tasse de thé. Là, en l’occurrence, je ne crois pas que ça soit vulgaire, on parle de libertinage, alors s’il n’y a pas une paire de fesses ou un moment de nudité… ! Je n’ai pas grand-chose à dire sur ce sujet, se produire devant une caméra et dévoiler des secrets, c’est aussi obscène que se mettre nue à l’écran.

Pollen - FR3, le 04/06/1986

Je suis réservée, mais je pense que ce n’est pas incompatible. J’ai des heures où j’ai envie de m’exhiber, comme tout le monde.

Pollen - FR3, le 04/06/1986

(Montrer mes fesses à la télé ?) C’est un plaisir, mais maintenant si ça vous dérange, je peux changer ! (…) Je m’amuse beaucoup…

OK !, le 28/07/1986

Certains pourront peut-être se formaliser parce qu’on m’y voit nue (dans le clip Libertine, NDLR), mais moi, je ne vois rien de mal à cela tant que ça n’est pas fait vulgairement.

Confidences, le 01/02/1987

Une chanson, c’est comme un rôle dans un film. On ne le joue qu’une seule fois. Pour réaliser le clip vidéo de Libertine, j’ai accepté de me montrer nue. Mais je pense que ce sera la dernière fois où la public me verra dans la tenue d’Eve.

J’ai accepté de me déshabiller dans mon clip, mais j’ai refusé de poser nue pour les magazines qui me l’ont ensuite proposé. Je ne veux plus que mon corps rentre dans les foyers.

Graffiti, le 01/03/1987

(Poser à la Une d’un magazine de « fesses » ?) : J’ai mes clips pour ça !

Lazer - M6, le 01/05/1987

Ça me dérange d’être nue à l’écran, je l’ai fait dans ce clip Libertine parce que c’était une volonté. Jamais je n’irai me mettre nue ni dans un journal, ni ailleurs. C’est quelque chose qu’on décide.

Super, le 01/05/1988

Quand j’apparais nue dans un clip, moi, je n’appelle pas ça de l’impudeur, parce que c’est dans un contexte précis. Si je vais dans un magasin essayer des dessous féminins, je suis très pudique. J’ai beaucoup de mal si la vendeuse reste derrière moi, je préfère être seule.

Télé 7 Jours, le 24/10/1988

C’est le paradoxe de l’artiste. On peut accepter les scènes de nu, si elles ont un intérêt, et si on a l’assurance d’un travail bien fait. J’ai confiance en Laurent Boutonnat. Pourtant, j’appréhendais un peu ces scènes (sur le clip Pourvu qu’elles soient douces, NDLR). Ce sont les regards, ou les commentaires des personnes sur le plateau qui peuvent rendre la situation embarrassante. Là, tout s’est très bien passé. Malgré tout, me déshabiller dans mes clips ne va pas devenir systématique.