Les citations liées à "Paris"

OK !, le 20/07/1987

Aujourd’hui je suis fascinée par Paris. Et la nuit, je trouve que c’est l’une des plus belles villes du monde.

Ici Paris, le 13/04/1988

Je n’ai jamais envisagé de vivre ailleurs qu’à Paris. J’ai besoin d’être au centre de l’action.

Europe Matin - Europe 1, le 18/10/1995

Paris est plombé. C’est difficile de trouver un sourire. Je crois que le ciel est bas. Bas et lourd ! Et puis, ma foi, l’actualité. Et puis, je crois, c’est presque vibratoire… (ces propos ont été tenus après deux attentats très graves survenus à Paris pendant l’été 1995, ndlr)

Libération, le 07/11/1995

J’avais envie de voir la lumière. Paris, c’était le noir. Je n’exclus pas l’idée que je suis partie pour me reconstruire.

Gala, le 30/05/1996

Mon adresse, c’est toujours Paris, mais avec l’idée de pouvoir m’en échapper quand je le veux. J’ai trop aimé vivre à Los Angeles. Pour l’espace – même s’il est parfois étouffant – et le soleil. Et surtout le plaisir de pouvoir perdre son identité et ses points de repère dans cette ville immense où personne ne me connaît. En comparaison, je trouve Paris bien morose. Ici, tout est noir d’encre. Plombé et déprimant.

La Matinale de Cauet - Skyrock, le 31/05/1996

Je vis à Paris. Néanmoins, j’aime bien le voyage. J’aime bien Los Angeles sur des périodes courtes. C’est une ville violente, mais ça, nous, nous ne le savons pas parce qu’on est quand même dans des quartiers un peu plus protégés. Donc, je ne vais pas mentir et vous dire que j’ai été confrontée à cette violence mais elle existe vraiment. Los Angeles est une ville qui est difficile parce que la rencontre est difficile. Maintenant, j’y ai trouvé l’espace, j’y ai trouvé une idée de liberté et de repos – en tout cas pour l’esprit – et ça a été parfait pour cette période.

Le Parisien, le 29/11/1996

Je ne pourrais pas vivre en Californie éternellement, mais de temps en temps, l’espace, la surdimension, la qualité de vie quotidienne et aussi la perte d’identité, cela fait du bien. S’il faut choisir, c’est quand même Paris. Mais, quand j’y suis revenue, j’ai trouvé la ville plombée, noire d’encre. Le ciel de Californie, c’est tout de même plus sexy