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            Dégénération
- Mieux vaut
tard que jamais 
             
            Analyse par
Marianne 
             
              
            C'est
par un
dimanche grisâtre que je me glisse ici, à quelques
années de la 
            sortie de DG. Je pense que Mylène Farmer
a voulu provoquer un ELECTRO choc à son 
            public, et c'est plutôt
réussi. Plutôt
qu'une chanson gentiment commerciale 
            cadrée à 3'30, elle nous
balance un truc hybride
digne d'un ovni où même 
            l'oreille la plus avertie remarquera des cuts
samplés "faussement
» (et 
            savamment) « mal mixés
», un couplet qui
semble trébucher sur une 
            répétition, une harmonie
soudainement
brisée (« coma extatique… »),
une voix 
            atone qui semble
s’évanouir sous les mots plus
qu’elle ne les chante… 
              
              
              
              Cette chanson, bien que deux ans
plus tard, me
monte au
cerveau, comme si je 
            ne l’avais pas vraiment vue et
comprise avant, comme si
empressée de 
            retrouver l’empreinte des auteurs et
compositeurs, je
n’avais pas saisi le 
            message de cette incroyable chanson
d’intro….Ce
titre tant décrié était 
            certainement l'éclair bleu qui se
faufile sous la peau et
va, fulgurant, 
            frapper un grand coup dans votre cortex
où se bousculent
tant d'idées 
            préconçues,
formatées... Comme une montée d'adré
ou d'amphets elle casse les 
            codes de la chanson basique que l’on
attendait tous et les
questions 
            jaillissent "mais qu'est ce qui lui a pris?
C'est quoi ce truc?
Où sont les 
            couplets? C'est quoi ce refrain? Est-ce bien un
single ? » .  
Réponse : cette chanson est bien
plus qu’un single ! 
              
              
              
               De quoi parle-t-elle?
D'une
dégénération, de quelque chose qui, en
nous, 
            bien cadré /carré, retenu
aux entournures,
presque lisse, va d'un seul coup 
            disjoncter... et
dégénérer. Fort
d’un jeu de mot en guise de clin d’œil
à 
            son fameux tube des années 90
"Génération D  -
enchantée"...que tout le 
            monde a déjà compris
n’oublions pas la
définition littérale du titre: 
            quelque chose qui se transforme, qui
s'affaiblit, perd consistance, se 
            dégrade…D'où
le
très pulsatile et
entêtant « couplet/refrain mutant »
bourré 
            d’allitérations « Coma des sexes, des
styxs, d’éstatique 
            Coma
des sexes, des styxs, extatique » qui
revient répété
jusqu’à la rayure 
            finale « exta ta tique »,
voix blanche
traçant son sillon jusqu’à nos 
            oreilles presque excédées
d’un tel un
martèlement robotique d’une Farmer « 
            deshumanisée » . Ce titre
ne nous laisse pas
indemnes, prêts à douter de la 
            démarche de l’artiste
jusqu’alors
inédite. J’ai comme l’impression que
« 
            Dégénération
» a quelque
chose en commun avec les toiles de
Francis Bacon, il 
            y a ici quelque chose «
d’insoutenable »
et de cru qui nous choque au 
            premier abord mais qui n’est que
l’expérience d’une rencontre «
violente » 
            avec une œuvre, rencontre qui suscite
des interrogations,
fait naitre des 
            idées... 
              
              
            La première qui me vient
à l’esprit
c’est cette idée, qui semble chère
à 
            l’Astre, 
selon laquelle du confort il
ne nait rien, de nos vies aseptisées 
            nous ne gardons trace de rien. Nous ne vivons
pas PLEINEMENT. Nous
évitons 
            avec soin la violence dans laquelle les
évènements nous projettent parfois, 
            que ce soit sur le plan de l’amour,
du désir, de
la haine, du chagrin 
            fou...Nous nous
évaporons… Tout en nous est sourd
et contenu dans une 
            réserve de bons sentiments
à la
tiédeur infâme, conditionnés dans une 
            acceptation aveugle de la vie, une soumission
constante à
l’uniformité (« 
            pensée en boîte et
c’est bien tout
»). Le temps des rébellions, d’une 
            affirmation de soi, d’une
libération des
conditionnements quels qu’ils 
            soient est un lointain souvenir perdu aux
portes des 90’s :
« Mais où est ma 
            Génération ? ».
Je crois
que sa «
Dégénération » serait une
génération 
            Enchantée et Endormie dans ses
petites joies, qui ne
rêve plus à rien, ou du 
            moins plus grand chose, qui se contente d'un
rien, qui
s’accommode de tout, 
            une génération qui
s'empiffre de pizzas hut
devant le prochain « Desperate 
            housewives »... ou un truc du style,
ou qui va balancer du
croupion sur du 
            "Toi +moi" ça fait...2,3 millions
d'euros et un mec
trés heureux (ex attaché 
            de presse de chez qui?? de chez... warner...)..
$ 
              
              
              
            Donc voilà...Farmer que j'aurais
tant aimé et
écouté ici bas 
            (et quelle joie d'avoir
été de ce
siècle pour avoir pu la "connaître » tout 
            comme vous je suppose...), nous met
musicalement (merci m'sieur
Boutonnat!) 
            une bonne claque dans la tronche, demande
à ceux qui
écoutent...d'aussi 
            ENTENDRE... L'extase est à quel prix
et nous mène
où? A soi ou son juste 
            évitement? L'ataraxie est elle
enviable (endormis sans
envies)? A quoi peut 
            on rêver quand on a
déjà tout, tout
avalé les couleuvres que la vie nous 
            tend… Aurions nous
oubliés d'être
Vivants... VIE VENT...une ombre dansante 
            sous la lune..."Dessine moi un mouton"...Vous
comprenez? Oui? 
Aurait on 
            oublié de déplaire pour
se conformer aux
désirs de l'autre ? Aurait on 
            oublié qu'il existe un monde
« impatient de naitre
» à chaque fêlure qui 
            signe nos chemins? 
              
              
              
            Dégénération
ne fait pas
forcément l'unanimité mais tend à nous
servir un 
            cliché quelque peu triste de
l'humanité ( ou ce
qu’il en reste) planqué sous 
            nos oreillers rose fuchsia XXL de chez IKEA
(quoi je fais des
entrées 
            google...! Et alors!). Cette chanson je l'ai
longtemps
regardée de loin, 
            comme un léger égarement
de Mylène... 
Où étaient passées les sublimes 
            mélodies de Boutonnat et cette verve
(attention pas de G)
que seule à mes 
            yeux Farmer sait diriger et faire exploser...
Mais l’intro
sonnait telle la 
            B.O d’un futur James Bond et pour
cause, il y a
urgence… Peut être faudrait 
            il apprendre à
désobéir et ne plus se
mentir confortablement du haut de nos 
            réussites personnelles ? Peut
être est il temps de
fuir l’inertie dans 
            laquelle on s’enlise sourire aux
lèvres? Peut
être est il encore  temps de 
            devenir l’aventurier de sa propre vie
sans laisser les autres
faire nos 
            choix, les médias dicter nos
conduites et dompter nos
goûts…Soyons sauvages, 
            restons debout ! 
              
              
              
            Voilà  nous sommes en
2010...et  j'me
rends compte que tout est là, 
            tellement là que je l'avais pas vu
(un peu comme l'amour?):
les paroles, 
            dignes d'un slogan, les cuts, le mixage, la
structure même de
la chanson 
            n'étaient qu'une façon
élégante de nous prendre la main, nous surprendre
et 
            nous suspendre à son
étoile...
fêlée filante mais toujours d'un noir aussi 
            brillant! Merci Mylène... 2 ans plus
tard...certes... 
             
             
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Mylene Farmer, les singles: un poème 
             
            par Steve
(1000 haines) 
            
              Mylene Farmer,
espace fumeur, une autre époque et d'autres mœurs 
Maman a tort changea l'décor, on l'aura jouée
jusqu'au rebord 
My mum is wrong was the same song, so we'll just move swiftly along 
Deuxième single, pas très facile, on
était tous des imbéciles 
Puis plus grandir, et quel délire,
déjà elle parlait de mourir 
Vint libertine, perverse comptine, Jeanne devint out, Mylene fut in  
Cours loin de la, pure tristana, Tellier revient, une
deuxième fois! 
Le carton sans contrefaçon, échange les filles et
les garçons 
Le premier slow, que se nomme-t-il, ainsi soit je, doux et subtil 
Elles ont l'air douces, pourvu qu'elles soient, entièrement
rousses, châtain j'aime pas 
Toréador un peu sadique, sur belles images, conte sans
logique 
A part écrire ces stupides vers, quelqu'un peut m'dire, a
quoi je sers? 
Une p'tite pause live, et que c'est beau, d'avoir comme sujet monsieur
Poe 
Puis de rev'nir sur plus grandir, avant le top, de conquérir 
Courir est vain, vous n'échapperez, au raz
d'marée désenchantée 
Les snobs riaient, comme on aimait, une chose est sure, y'a pas
d'regrets 
Mélancolie que tu nous donnes, il est évident
qu'elle résonne 
It's in our hearts, it's in our souls, beyond any kind of control 
Et Luc Besson, que tu r'verras, que mon cœur lâche,
il filmera 
My soul is slashed, ca j'en dis quoi, oui non en fait, la je sais pas 
Alors je passe a l'xxl, et te cueille une fleur de poubelle 
Pour l'instant x ou l'on s'ébat, dans de la mousse aux usa 
J'ai beau courir, tu n'es plus la, t'es partie en california! 
Et comme j'ai mal, tu le pensas, quand de la scène, tu
t'expulsas 
Ce soir a Lyon, où envoutés, nous reprenions tous
sur rêver 
Ainsi soit je...fait un retour, j'peux d'mander si c'est pas trop lourd 
Quand tu chantais de la poupée, c'est pas Khaled qui t'a
poussée? 
Sur une muraille reconstituée, des jumelles
déjà condamnées 
Nous rendent un regard étriqué, droit d'un
tableau d'Egon Schiele 
Puis d'un hôtel en incendie, tu te souviens de jours maudits 
Avant de faire un tour au cirque, ou tu r'deviens optimistique 
Les yeux et le cœur vers le haut, c'est la l'Innamoramento 
J'ose pas d'mander, je sais qu'c'est con, mais dis tu m'dessines un
mouton? 
Les razmokets l'ont mérité, si de ta main, ils
furent fessés 
C'est pas Seal dans la vidéo, celui que tu vires du radeau 
Mais tu t'en fous, tu vas t'coucher, encore la fin d'une belle
journée 
Pardonne-moi pour ces vers tarés, là j'ai encore
du trop fumer: 
J'entends des djs qui remixent, trois titres classiques, dont l'instant
x... 
Victoires? Musique? You don't play ball. Et ca les pique, tu fuck them
all! 
Qi pointu, aussi perçant, que ces doigts fins dans ton amant 
Un atelier, statues en blanc, pour redonner le gout d'avant 
Parfois une statue se dévoile, avec Benoit, tu t'mets a poil 
Mon sang était bien chaud déjà, en
plus après, tu d'viens manga! 
Tu te rhabilles avec Moby, même s'il te fait crier la vie 
Avant que l'ombre tombe sur Bercy, pour un retour live inouï 
Encore une fois, déshabillée? Mais tu viens juste
de les enlever! 
Extraterrestre, descends sur terre, pour qu'en partouze, ca
dégénère 
J'ai bien essayé de t'appeler, mais ton numéro a
changé 
Si j't'avais au moins contactée, la SPA veut t'honorer! 
Mais t'es r'partie, tu es dans l'air, mode de propulsion
nucléaire? 
J'ai bien besoin d'un p'tit tonique, alors je sors ton jouet magique 
Dans l'air déjà, remix nouveau? J'veux bien
vibrer, pas sur Tiesto 
Et je voudrais bien continuer, mais les singles, c'est
terminé... 
             
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      Par Fabien du blog lombrerougedemylene 
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      Par Laurent (Laurent38) 
Peinture à l'acrylique de l'entrée du concert 
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      Par Phong Tr des Etats-Unis 
Oil on canvas (120cm * 180 cm) 
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      Par Phong Tr des Etats-Unis 
Oil on canvas (90cm * 190 cm) 
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      Par Alexandre 
cliquez sur l'image pour agrandir 
       
       
       
       
          
      Tableau (1,80 mètre de long pour 0,80m de
large) 
Envoyé par Stépahne 
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      Par Linou 
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Remix de Sextonik
par Mr ADAN 
"Serial Lover
Killer Mix" 
       
      http://www.monsieuradan.com/ 
       
       
       
       
       
       
        
Par Lulupantin  
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Par Julien (Comatik) 
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Par Clovis 
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Par Stéphane 
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Par Dimitri L. 
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Par Sugar  
      http://creation-claire.skyrock.com/ 
       
       
       
       
        
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Par Frédéric 
       
       
       
        
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Par Ana  
       
       
       
        
"La jeune femme à la robe rouge" par Fabièro 
      http://fabiero13.spaces.live.com/ 
       
       
       
        
par François Mouillard 
      http://www.francois-mouillard.fr/page3.html 
       
       
Le prochain album de Mylène  vous inspire
toujours... 
      1 - 2 
par Antoine 
       
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