Les années Cendres de lune
Gai Pied, le 12/01/1987
Non, (je n’aborde pas dans Cendres de Lune) la sexualité, mais la sensualité. Ce mot se rapproche plus de moi… Je ne pense pas être une bombe sexuelle ! |
Gai Pied, le 12/01/1987
J’aime toujours les plaisirs impolis… Le texte a été un handicap au départ, mais ce côté sulfureux existe même s’il dérange. J’aime ce qu’on m’interdit ! |
Gai Pied, le 12/01/1987
Il m’arrive d’avoir le feu dans les veines. De temps en temps, je suis le Diable ! |
Gai Pied, le 12/01/1987
Quand j’étais petite, je modelais des poupées aux effigies de quelques personnes. Je ne les ai jamais percées avec des épingles |
Gai Pied, le 12/01/1987
C’est ma comptine… et aussi l’innocence et la cruauté des enfants. C’est diabolique ! Une petite fille aux yeux bleus et au sourire angélique qui vient vous dire qu’elle a tué sa petite copine… Ce n’est pas mon propos (de la sororité ou de la lesbianité, NDLR). Il serait plus intéressant de poser cette question à l’auteur qui a écrit cette chanson, car c’est un homme (Laurent Boutonnat, NDLR). Il a projeté ses fantasmes sur moi. |
Gai Pied, le 12/01/1987
On peut chanter « je suis libertine, je suis une catin », et avoir beaucoup de pudeur. Il faut savoir garder des choses qui n’intéressent que vous. Il ne faut pas faire de vivisection de l’artiste. Je n’ai pas à ouvrir mon ventre |
Gai Pied, le 12/01/1987
(Sincérité.Intégirté.) J’ai horreur de ces mots. Faire ce métier, c’est un manque de sincérité. |
Gai Pied, le 12/01/1987
J’aime les gens que j’ai envie d’aimer. Peu importe leur sexualité. Les homosexuels m’ont toujours porté un grand intérêt et de la chaleur. J’en suis ravie, mais je ne vis pas dans leur monde. Il est vrai que je travaille avec des homosexuels et que je m’en porte bien ! |
Gai Pied, le 12/01/2014
(Mon héroïne favorite de roman) : Justine de Sade, évidemment. |
Gai Pied, le 12/01/1987
(Sur une île, j’emmène) la moitié des œuvres de sainte Thérèse d’Avila et la moitié des écrits du marquis de Sade. |