Les années Cendres de lune
Graffiti, le 01/03/1987
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Ce métier n’avait aucun intérêt mis à part de me permettre de gagner facilement et rondement ma vie. |
Graffiti, le 01/03/1987
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On ne s’improvise pas chanteuse, je crois aux vertus du travail, de la persévérance et de la chance. (…) On apprend, on se construit, à travers des disques et des images. |
Graffiti, le 01/03/1987
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Maman a tort, mon premier 45 tours, a super bien fonctionné, ensuite il y a eu On est tous des imbéciles qui n’a pas connu le succès public escompté mais ce n’est pas grave, car il faut savoir faire avec les hauts et les bas. On apprend, on se construit, à travers des disques et des images. |
Graffiti, le 01/03/1987
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Très prochainement sur nos écrans, les amis ! Et ce clip risque de vous surprendre. Il y aura des loups, de la neige et une belle histoire avec la participation d’une star dont je ne peux pas encore divulguer l’identité. |
Graffiti, le 01/03/1987
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Il faut bien le reconnaître, je ne croule pas sous les scénarios et puis les propositions ayant été inspirées par Libertine les films tournaient tous autour du même sujet si vous voyez ce que je veux dire. |
Graffiti, le 01/03/1987
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Ce clip, c’est surtout un amour du cinéma et des images. Moi je le trouve au contraire très romantique. On n’a pas « appuyé » sur les mots, mais on a raconté une histoire avec des bagarres entre filles, avec des chevaux. |
Graffiti, le 01/03/1987
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C’était marrant de remettre au goût du jour, ces mots d’une autre époque (comme catin, NDLR). |
Graffiti, le 01/03/1987
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Complètement (solitaire et indépendante, NDLR), n’est-on pas définitivement seul ? |
Graffiti, le 01/03/1987
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J’ai un cercle d’amis très restreint et pour eux je suis restée Mylène, sans Farmer. |
Graffiti, le 01/03/1987
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(Poser à la Une d’un magazine de « fesses » ?) : J’ai mes clips pour ça ! |