Les années Cendres de lune

Graffiti, le 01/03/1987

Lorsque vous marchez dans la rue, les personnes vous reconnaissent. On ne peut plus regarder les autres, car ce sont eux qui nous observent, et on ne peut jamais être soi-même, puisqu’il y a forcément un regard. Parfois c’est très gênant

Graffiti, le 01/03/1987

(Parmi les voyages à l’horizon), le Canada, bien sûr, où je vais faire de la promo et ce qui va me permettre surtout de renouer avec ce pays de mon enfance. D’y retourner avec un métier dans les mains ça me fait vraiment très plaisir.

Graffiti, le 01/03/1987

Non, (je ne suis pas si mystérieuse qu’il y paraît) mais il y a mon métier d’un côté, mes disques, mes clips, mes prestations à part cela le reste c’est mon jardin secret.

Graffiti, le 01/03/1987

(Optimiste ?) Pas vraiment, disons qu’à un moment de mon existence, je suis tombée dans un lourd pessimisme et puis je me suis replongée dans l’action. Voilà, c’est ce qu’on appelle la philosophie non ?

Graffiti, le 01/03/1987

Chanter, ce n’était pas une vocation bien que la musique m’ait toujours accompagnée. Je m’orientais plus vers le théâtre ou le cinéma, c’est vrai, mais je voulais de toute façon, occuper une place artistique et faire un métier de création.