Les années L’autre… et Dance Remixes
Podium, le 01/09/1991
Je ne marie pas le regret avec déception et ratage. Plutôt ces choses que l’on aurait pu faire mais que l’on décide de ne pas faire… avec tout ce que cela comporte de masochisme et de romantisme aussi ! |
Podium, le 01/09/1991
J’ai l’impression que nous sommes très très proches. J’ai l’impression d’avoir un frère jumeau dans ce métier. J’admire sa façon d’écrire ! |
Podium, le 01/09/1991
C’était vraiment un souhait commun. J’ai écrit la chanson en pensant à lui. |
Podium, le 01/09/1991
Pas de doute, cela fait partie du cycle Libertine, Pourvu qu’elles soient douces. Là encore j’ai sûrement certains comptes à régler avec la gente masculine. C’est une façon de ne pas se prendre au sérieux pour la chanson un peu différente du reste de l’album. |
Podium, le 01/09/1991
Le titre explique je crois la pensée de la chanson. Oui, ma foi, il n’y a pas d’ailleurs. C’est dur de penser et d’accepter cela. Toute chose naît et meurt et c’est partout pareil ! Tout se termine par la même chose… |
Podium, le 01/09/1991
C’est une histoire d’amour qui se termine dans le sang… Car c’est plus facile de garder les personnes comme ça ! |
Podium, le 01/09/1991
J’ai essayé d’évoquer la vérité des choses et d’être honnête avec moi par rapport à des personnes que j’ai pu rencontrer et avec qui j’ai pu partager des choses. Cela peut être le public et mille autres choses. Là c’est véritablement l’autre ! |
Stars 90 - TF1, le 09/09/1991
Ce qui me fascinait, c’était le silence avant tout, le silence absolu. Le blanc. Le froid et le silence avant tout.(…) Je voulais remercier Luc pour m’avoir offert ce rêve ! (le voyage au Pôle Nord sur le tournage du film Atlantis, ndlr) |
Madame Figaro, le 01/11/1991
Je n’ai aucune aigreur : le succès est venu si tôt. Mais aujourd’hui j’ai les moyens d’envoyer paître la vulgarité ! J’ai toujours considéré que j’avais tous les droits. Maintenant j’ai les moyens de mes convictions. Ce ne sont pas des caprices de star. Je me suis tracé un chemin, il ne me fait pas peur. Personne ne m’obligera à m’allonger sur une peau de panthère devant les caméras de télévision. Je ne l’acceptais pas quand j’avais besoin d’eux. |
Madame Figaro, le 01/11/1991
Je m’ouvre doucement, instinctivement à l’art moderne et contemporain. J’aime la peinture abstraite parce que j’y lis ce que je veux ; on ne m’impose rien. C’est comme tomber amoureux de quelqu’un : on ne sait pas qui est vraiment « l’Autre » mais on a soudain envie de le connaître, de percer son mystère tout en sachant qu’on n’y arrivera jamais complètement. |