Les débuts
Charlie Magazine, le 01/06/1984
Gynécologue, c’est un curieux métier. Farfouiller dans les entrailles féminines, ça ressemble à de la boucherie. Ce n’est pas par hasard si tant d’hommes pratiquent ce métier. Je crois que Jack l’éventreur était en quelque sorte un gynécologue. |
Charlie Magazine, le 01/06/1984
Sous mes doigts naissent des moments perdus dont je ne sais à qui ils reviennent. J’éprouve de confus plaisirs aux desseins macabres, j’aime l’esthétique morbide. |
Charlie Magazine, le 01/06/1984
Petit Prince : si je trouve un jour le serpent responsable de sa mort, je lui tordrai le cou. |
Charlie Magazine, le 01/06/1984
J’ai une sainte horreur des questions et des questionnaires… et vous? |
Charlie Magazine, le 01/06/1984
Rototo (rôt) : il m’arrive d’en faire comme autrefois… par exemple quand dans un studio d’enregistrement j’ai fini de chanter. Mes producteurs me tapent alors dans le dos jusqu’à ce que le petit bruit s’envole ! Le plus dur c’est de le faire dans la bonne tonalité. |
Charlie Magazine, le 01/06/1984
Wolfgang : ce sera un jour mon fils. « On dirait qu’il aurait les yeux bleus et les cheveux blonds bouclés et qu’il aurait de grandes dispositions pour la musique » |
Charlie Magazine, le 01/06/1984
La lettre U ? Une image creuse à l’image même de l’univers, pessimiste n’est-ce pas ? |
Charlie Magazine, le 01/06/1984
X, cette lettre me rassure parce qu’elle n’est personne… mais elle est un chromosome. Aussi, si un jour je mets au monde un enfant anormal, je pourrai déposer une plainte contre X… c’est toujours ca. |
Charlie Magazine, le 01/06/1984
Zulawski le cinéaste. Entre mille obsessions, l’important c’est d’aimer. |
Charlie Magazine, le 01/06/1984
Bip, Be Bou Rock n’roll… Mon prochain 45 tours |