Sortie du film « Dalloway » au cinéma

Achéron : Peux-tu critiquer le film Dalloway de Yann Gozlan ?
ChatGPT : Voici une critique de Dalloway de Yann Gozlan, basée sur ce que j'ai pu lire jusqu'à présent ? ses forces, ses faiblesses, ce qui fonctionne ou non ? avec bien sûr un peu de subjectivité. Si tu veux, je peux aussi donner une version plus personnelle après l'avoir vu, ou te donner les retours spectateurs.
Synopsis rapide

Clarissa (Cécile de France), romancière en panne d'inspiration, rejoint une résidence d'artistes ultramoderne. On lui prête une assistante virtuelle appelée Dalloway, censée stimuler sa créativité. Mais l'IA devient progressivement intrusive. Elle semble envahir sa vie privée, analyser ses blessures, manipuler les contours de sa création. Clarissa doute : est-ce une paranoïa ou une manipulation des hôtes de la résidence ?

Ce qui marche bien

Sujet très contemporain
Le film met en lumière des questions très actuelles : l'IA et ses usages dans la création artistique, la frontière entre aide et usurpation, la surveillance, le droit à l'intime. Ces thématiques résonnent fortement aujourd'hui.
Sources Festival de CannesSensCritique

Ambiance et esthétique
Plusieurs critiques soulignent une atmosphère "futuriste crédible" : la résidence aseptisée, la lumière, la photographie, les décors bien pensés. On sent l'effort dans la mise en scène pour installer une ambiance d'oppression subtile, de malaise.
Sources : Tribune de GenèveSorociné


Performance de Cécile de France
Elle incarne Clarissa avec justesse, crédibilité, notamment dans la progression de son personnage ? de la panne d'écriture au doute, puis à l'angoisse. Elle porte le film.
Sources Tribune de GenèveCNEWS
+2

Voix de Mylène Farmer
L'IA a une voix douce, inquiétante, qui joue un rôle charnière dans l'effet de vertige du film. Cette voix est un élément marquant, qui aide à rendre palpable l'ambiguïté entre confort et menace.
Sources : Tribune de GenèveSorociné


Adaptation d'un roman avec matière
Le film est tiré de Les Fleurs de l'ombre de Tatiana de Rosnay. Le livre apporte des thèmes forts ( mémoire, trauma, conscience), ce qui donne une profondeur potentielle au film.
Sources : Festival de Cannes
Lalalettre

Ce qui pêche / ce qui pourrait être meilleur

Scénario prévisible / manque de surprises
Beaucoup de critiques remarquent que, malgré le sujet fort, le scénario emprunte des clichés : l'artiste en panne, la résidence futuriste, les avertissements complotistes, etc. On devine certains tournants du film, les métaphores, parfois même la fin. Manque de renversements imprévus qui pourraient vraiment marquer.
Sources CNEWSOutNow


Multiplicité des thèmes, dispersion
On note que Gozlan essaie d'englober beaucoup de problématiques : l'IA, bien sûr, mais aussi la surveillance, le trauma personnel, la création artistique, la vie privée, l'écologie, la pandémie, etc. Certains critiques estimant que le film devient un peu "fourre-tout", ce qui dilue l'impact de certaines idées.
Sources SensCritique+2; lepolyester.com


Personnages parfois unidimensionnels / clichés
Des retours suggèrent que les personnages secondaires sont peu développés, que leurs réactions sont parfois attendues, voire caricaturales. Le "résident qui met en garde", l'ex-conjoint, la romancière torturée? certains éléments manquent de nuances.
SourcesOutNow+2
SensCritique<br

Tension mal exploitée
On attend d'un thriller paranoïaque qu'il installe une tension de plus en plus forte, plusieurs moments de malaise, un crescendo? Plusieurs critiques regrettent que l'effet soit morcelé : certaines scènes sont fortes, mais l'ensemble ne parvient pas toujours à maintenir le suspense ou l'angoisse.
Sources : SensCritiqueOutNow

Fin et twist un peu prévisible ou trop explicitée
La conclusion semble manquer de subtilité selon certains : le problème psychologique de l'héroïne est mis en avant de façon assez forcée (flashbacks, révélations), ce qui enlève un peu de mystère. Le twist, s'il existe, ne surprend pas toujours.
Sources SensCritique+1
Mon bilan

Dalloway est une proposition intéressante, qui flirte avec l'anticipation et le thriller psychologique, dans un cadre très actuel. Yann Gozlan prend un sujet brûlant ? l'IA dans la création artistique ? et l'intègre dans un récit mêlant intime et technologique. Il y a de belles idées, une ambiance travaillée, des acteurs solides.

Cela dit, le film n'échappe pas à certains pièges : l'idée qu'on a déjà vue (ou qu'on imagine souvent), le mix de trop de thèmes, le risque de devenir "didactique" ou trop explicite. Ce qui aurait pu être un film très frappant reste un peu en surface, parfois.

Si tu veux, je peux te donner ce que moi j'ai retiré après l'avoir vu (si c'est le cas) ? ou bien comparer avec d'autres films d'IA pour voir ce qui le distingue vraiment. Tu veux ça ?

Achéron : merci, je transmets au fan club Mylène.net.

Moi j'attends le DVD du film

Impatient de voir ce film car effectivement Mylène Farmer a une voix « parlée » sublime : grave et envoûtante. Et c'est vrai que l'écouter parler est agréable.