Mylène Farmer - Dalloway
Clarissa, romancière en mal d'inspiration, rejoint une résidence d'artistes prestigieuse à la pointe de la technologie. Elle trouve en Dalloway, son assistante virtuelle, un soutien et même une confidente qui l'aide à écrire. Mais peu à peu, Clarissa éprouve un malaise face au comportement de plus en plus intrusif de son IA, renforcé par les avertissements complotistes d'un autre résident. Se sentant alors surveillée, Clarissa se lance secrètement dans une enquête pour découvrir les réelles intentions de ses hôtes. Menace réelle ou délire paranoïaque.
2024
Tournage du film. Le tournage a duré 45 jours dont 35 en Belgique et s'est terminé mi-août 2024.
23 septembre 2024
Au Festival de Deauville, une affiche annonce la sortie du film pour le 3ème trimestre 2025.
17 octobre 2024
Dans un entretien accordé à "Paris Match", Mylène évoque directement sa participation au film Dalloway.
20 février 2025
Dans un communiqué, Gaumont annonce la sortie du film le 17 septembre 2025.
16 mai 2025
Présentation de Dalloway au Festival de Cannes en sélection officielle, hors compétition, en séance de Minuit. Mylène est présente et monte les marches du Palais du Festival avec l'équipe du film.
24 mai 2025
Le film est proposé en avant-premièredans plusieurs cinémas UGC (Paris UGC Ciné Cité Les Halles, Paris la Défense, Lyon, Bordeaux, Lille, Strasbourg).
04 juillet 2025
Dalloway est le film d'ouverture du Festival International du film fantastique de Neuchâtel.
10 juillet 2025
Mise en ligne de la bande-annonce du film
17 septembre 2025
Sortie du film au cinéma en France, en Belgique et en Suisse romande.
- Cécile de France : Clarissa
- Lars Mikkelsen : Mathias Nielsen
- Anna Mouglalis : Anne Dewinter
- Frédéric Pierrot : Antoine
- Freya Mavor : Mia White
- Mylène Farmer : Dalloway
Réalisé par : Yann Gozlan
Scénario de
: Yann Gozlan, Nicolas Bouvet-Levrard et Thomas Kruitof d'après le roman Les fleurs de l'ombre de Tatiana de Rosnay publié aux éditions Robert Laffont
Produit par
: Eric et Nicolas Altmayer
Coproduit par
: Sidonie Dumas, André Logie, Gaëtan David
Directeur de la photographie
: Manu Dacosse, SBC
Montage : Valentin Féron
Musique originale : Philippe Rombi
Décors : Thierry Flamand, ADC
Costumes
: Olivier Ligen
1ère assistante réalisateur :
Natalie Engelstein, AFAR
Scripte : Aurélie Nolf
Casting : Michaël Bier, ARDA
Maquillage & Coiffure : Kaatje Van Damme
Son : Armance Durix, Guadalupe Cassius, Nicolas Bouvet-Levrard, Johann Nallet, Marc Doisne
Superviseur VFX
: Ronald Grauer
Directeurs des productions : François Dubois, Pascal Roussel Casas
Directeurs de post-production : Patricia Colombat, Camille Schumacher
Une coproduction : Mandarin & Compagnie, Gaumont, Panache Production, La Compagnie Cinématographique
Avec le soutien essentiel de : Canal +
Avec la participation de : Netflix
Avec la participation de : Wallimage et de la Région de Bruxelles-Capitale
En coproduction avec : Movie tax Invest; BNP Paribas Fortis Film France, RTBF, BE TV et Orange Proximus
Le tournage / Le livre avant le film / La voix de Mylène / Mylène et Cécile de France complices
Les photos de la montée des marches au Festival de Cannes le 15 mai 2025
Interviews de Mylène Farmer
"Paris Match - 17 octobre 2025"
Interview dans "Le Parisien" (Dimanche) le 14 septembre 2025
Interviews de Yann Gozlan
We love cinéma - 20 mai 2025 - https://www.facebook.com/welovecinemafr/
Comment avez-vous eu l’idée de donner la voix suave et engageante de Mylène Farmer à Dalloway ?
Un soir, par hasard, je tombe à la télévision sur une émission retraçant le parcours de Mylène Farmer. Ce reportage montrait une rare interview de l’artiste : même si, évidemment, comme tout le monde, je l’avais entendue chanter, je découvre sa voix au naturel. Une voix élégante, au timbre grave, qui m’interpelle et me séduit immédiatement. Une idée me traverse alors l’esprit : et si Mylène Farmer était l’interprète idéale pour incarner Dalloway ? L’idée me semble folle, mais connue à me trotter dans la tête alors que je fais des essais peu concluants avec d’autres comédiennes. Sans trop y croire, je décide finalement de la contacter par une amie commune qui travaillait avec elle sur ses concerts et qui lui transmet le scénario. A ma plus grande surprise, Mylène lit vite et accepte le rôle. L’idée d’incarner une IA la séduit et l’amuse. C’est une chance pour le film. Car de par sa stature, Mylène amène une chose unique : elle insuffle à l’IA une aura singulière entre mystère et fascination.
Comment s’est-elle prêtée à l’exercice ?
Dans le travail, je rencontre une passionnée de cinéma et une véritable actrice. Une grande professionnelle qui, par son métier de chanteuse, a une oreille incroyable : je le constate lors des enregistrements de ses répliques quand je lui demande des changements d'intonation infimes – changements qu’elle réalise de manière très précise. Au final, je lui dois beaucoup. D’abord pour son engagement – elle s’est investie totalement dans mon film – et surtout pour son soutien indéfectible à un moment où je rencontrais des difficultés pour monter le projet. Au-delà de la chance de travailler avec une grande artiste, l rencontre avec Mylène Farmer a été une expérience humaine importante.
Aviez-vous une envie particulière sur le traitement de la voix de l’IA ?
Avant le tournage, nous nous sommes retrouvés avec Cécile et Mylène au studio Guillaume Tell, où nous avons enregistré toutes les répliques de Dalloway. Celles-ci ont ensuite été diffusées au tournage sur le décor pour que Cécile puisse interagir avec la voix de Mylène. Plus tard, lors de la post-production, j’ai demandé à Mylène de réenregistrer certaines répliques pour avoir un ton plus chaleureux et enjoué. Mon envie était que Dalloway apparaisse au début comme une amie bienveillante. Le traitement de la voix de l’IA été un travail délicat pendant le mixage. Mon par/-pris était de la traiter comme la voix d’un personnage, comme celle de Cécile. Il fallait la spatialiser, la faire exister dans le décor pour éviter une voix off plaquée. Mais j’ai constaté qu’en voulant trop la spatialiser par un système mul/canal qu’offre le Dolby Atmos, la voix de Dalloway devenait trop celle d’une « machine », ce qu créait une distance avec le spectateur là où, au contraire, je désirais une proximité et des échanges les plus naturels possibles. Trouver le bon équilibre dans le traitement de cette voix a pris du temps au mixage. Toujours dans cette volonté d’humaniser l’IA, j’ai eu recours à différents plans serrés sur les tablettes affichant le logo animé de Dalloway. Comme s’il s’agissait du visage d’une personne. J’ai varié les angles, la focale et l’emplacement de la caméra pour filmer ces écrans avec le logo de l’IA ; ces plans devant répondre, au montage, à ceux de Clarissa.
Dossier de presse du film
Interview de Cécile de France
"C à vous" - France 5 - 15 mai 2025 - https://youtu.be
Interview de Cécile de France, Yann Gozlan et Anna Mouglalis
Yann Gozlan : Je me suis dit que le personnage de Clarissa, c'est le personnage principal du film et on la suit de bout en bout tout au long du film. Je voulais créer une mise en scène très subjective. Donc, je voulais un personnage auquel on puisse vraiment s'identifier et qui crée de l'empathie. Donc, il fallait une comédienne qui amène une humanité et qui dégage ça naturellement. Et Cécile de France, elle dégage ça, elle est ancrée dans le réel. Et elle a cette humanité... quand on rencontre Cécile, on a tout de suite envie d'être son ami, elle est très chaleureuse, elle a ce truc très humain. Je dais que c'est une qualité fondamentale pour rentrer dans ce monde. Donc c'était vraiment l'actrice adéquate et parfaite pour le rôle. Puis, pour la voix de Dalloway, j'ai eu de nombreuses difficultés, je ne trouvais pas, je cherchais une voix qui soit à la fois assez fascinante mais en même temps chaleureuse, un peu grave. Je ne trouvais pas. Et un jour, je tombe sur un reportage qui retrace le parcours artistique de Mylène Farmer et je tombe sur une interview de Mylène Farmer. Moi, je ne la connais pas Mylène Farmer... Évidemment, je la connais comme chanteuse mais je ne connais pas sa voix au naturel quand elle est en discussion. Et je découvre une voix que je trouve vraiment séduisante, très belle, grave d'ailleurs, je suis étonné par le ton grave de sa voix et en même temps très fascinante. Et je me dis, ça serait quand même génial, de par le statut de Mylène Farmer... Elle est un peu irréelle aujourd'hui Mylène Farmer par son statut qui est quand même incroyable. Et donc, je me disais, pour l'incarnation de l'intelligence artificielle, de Dalloway, je trouvais que c'était cohérent. Il y a un côté très chaleureux au début que je souhaitais avant que le rapport se disloque et se tende dans la seconde partie du film. Mais elle a un truc aussi, elle insuffle une aura assez fascinante. Et c'est vrai, on se dit : "C'est elle !" Mais en même temps, on peut ne pas la reconnaître. On découvre et on redécouvre sa voix.
Cécile de France : J'ai eu l'occasion d'être en sutdio avec Mylène Farmer qui fait la voix de mon assistante virtuelle. Moi, ça m'a permis, en lui donnant la réplique de faire une sorte de lecture, de répétition. Mais c'était uniquement de scènes, c'est-à-dire les 3/4 du film. Je tenais vraiment à être là pour qu'on ait plaisir de jouer ensemble. Mais moi, j'étais loin encore du personnage de Clarissa. Si je me souviens de cette session d’enregistrement, je n'étais pas du tout prête. mais ça m'a permis de travailler.
Yann Gozlan : Je ne me voyais pas donner la réplique à Cécile dans l'appartement, dans le studio. Il fallait la voix de base. Clairement, il fallait qu'on enregistre, au moins comme voix témoin pour le tournage, la voix de Mylène. Donc on est allé en studio, dans un magnifique studio musical Guillaume Tell. On a enregistré la voix de Mylène Farmer et Cécile était présente. Elle lui donnait la réplique. Ça a été une phase de préparation, de travail en amont donc, c'était très chouette. Ça nous a permis de nous rencontrer, de travailler, d'enregistrer ces premières voix qui nous ont servi ensuite au tournage. Quand on commençait à tourner, Cécile avait la voix de Mylène. Elle avait une oreillette discrète où on lui diffusait les réplique.s Et il y avait un tempo à trouver car elle interagissait en direct comme dans le film . Elle était dans les conditions du film, de l'histoire dans lequel se trouve Clarissa.
Cécile de France : J'entends sa voix qui a été préenregistrée. Après, elle a eu un travail une fois que le film a été monté pour peaufiner parce que tout ça c'est de l'horlogerie, c'est très très précis la manière dont elle doit s'humaniser etc. C'était très facile. Elle n'était pas en chair et en os avec moi mais ça m'aidait d'avoir ce lien à créer avec une assistante virtuelle qui n'a pas de corps non plus. Donc du fait qu'elle ait été absente, ça n'était pas un problème, au contraire. Elle a une voix très charmante et charmeuse, elle a quelque chose de séduisant, d’énigmatique,, de mystérieux. Donc, ça fonctionnait très bien comme ça. Elle est professionnelle, elle est disponible, elle travaille, elle refaisait autant de fois qu'il fallait pour arriver à justement doser... Ce n'était pas facile pour elle, elle en parlerait mieux que nous... D'humaniser petit à petit, de manière très progressive, sur des intonations, des toutes petites choses. C'est un vrai travail, une partition minutieuse qu'elle a accomplie avec beaucoup d’investissement. Donc, bravo à elle !
Pathé France - 16 mai 2025 - https://youtu.be
Vanity Fair - Valentine Servant-Ulgu - 16 mai 2025
- Mylène Farmer crève l'écran par sa seule voix dans Dalloway.(...) Pour comprendre Dalloway, il faut l'entendre. Mylène Farmer n'apparaît pas une seconde dans le nouveau film de Yann Gozlan, présenté en Séance de minuit au Festival de Cannes. Pourtant, sa voix est partout. La chanteuse prête son timbre mélodieux à une intelligence artificielle nommée Dalloway, chargée d'aider une autrice en mal d'inspiration à écrire son nouveau manuscrit. On l'imagine en studio en train d'enregistrer ses répliques, nimbée du mystère qu'elle cultive depuis le début de sa carrière. Comme à son habitude et avec la discrétion qui la caractérise, l'interprète de Désenchantée – entre autres tubes légendaires – se réinvente avec brio. (...° Mylène Farmer parvient à moduler sa voix suave pour la rendre tantôt maternelle, illustration sonore du care, tantôt impérieuse et oppressante, tout en menace contenue. Elle devient une sorte d'Œil de Sauron niché dans les boîtiers interactifs disposés aux quatre coins de l'appartement, presqu'omnisciente – sans en faire trop. Ses variations vocales suffisent à semer le trouble.
- "Un thriller psychologique, rythmé par le glissement vers l'angoisse et la paranoïa de sa protagoniste."
Le Parisien - Catherine Balle - 16 mai 2025
- "On se laisse cependant prendre par la tension de la mise en scène, l'interprétation habitée de Cécile de France et la voix envoûtante de Mylène Farmer qui, pour la première fois, nous fait frémir."
- "Formellement très réussi, le thriller, qui sortira en salles le 17 septembre, reste assez prévisible sur le fond : l'Intelligence Artificielle ne veut rien d'autre que remplacer les humains et l'analyse de ses dangers s'arrête là."
Télérama - Cécile Mury - 17 mai 2025
- "Son système domotique ultra perfectionné et archi bienveillant (tu parles), qui contrôle tout, de la température de l'air à la santé de sa pensionnaire, en passant par le verrou de la porte d'entrée (aïe), et — cerise sur le gâteau numérique — lui parle avec la voix envoûtante de… Mylène Farmer"
- " Ce thriller d'anticipation, bâti sur un complot techno-parano assez faiblard (dont Anna Mouglalis tire les ficelles distendues), est présenté à Cannes en séance de minuit (la case réservée au cinéma de genre), un horaire qui invite à la somnolence, dont même l'élégance froide et inquiétante des plans et des décors, ou l'interprétation fébrile de Cécile de France ne parviennent pas à nous extraire. Cette adaptation des Fleurs de l'ombre, un roman de Tatiana de Rosnay paru en 2020, semble elle-même passée à la moulinette d'une IA : un recyclage lisse, sage et prévisible des hantises d'aujourd'hui et de demain."
écranlarge - Alexandre Janowiak - 17 mai 2025
- "Dans un premier temps, cela fonctionne plutôt bien. Clarissa (incarnée par Cécile de France) forme un duo efficace avec Dalloway (la voix de Mylène Farmer) qui met en place leur dynamique et leur rapport de force"
- "C'est tellement mauvais que dans ses pires moments, le film semble presque écrit par Chat GPT, un peu comme si son trio de scénaristes avait lui aussi souffert du syndrome de la page blanche touchant sa protagoniste. Ce n'est évidemment pas le cas (quoi qu'on n'était pas en coulisses), mais une chose est sûre, Dalloway ressemble à une version française de Black Mirror toute naze ou un Don't Worry Darling français tout pourri. Autant dire que c'est une vraie déception."
À voir À lire - Laurent Cambon - 11 juillet 2025
- "Mylène Farmer habite la voix de l'IA dont on ne sait si elle est dangereuse ou protectrice. C'est tout à fait étonnant de la part de la star de la chanson d'intégrer un personnage virtuel qui tend peu à peu à devenir retors et manipulateur. On est loin de l'image romantique et mystérieuse de la diva, habituée maintenant au cinéma de Yann Gozlan."
- "Dalloway constitue une véritable réussite, au milieu d'une filmographie assez contrastée pour Yann Gozlan. Manifestement, il a été très inspiré par ce récit troublant qui tient en haleine le spectateur jusqu'à la dernière minute. Le style évolue entre le fantastique, le thriller psychologique et le drame, notamment avec cette fin imprévisible mais carrément dramatique. Le réalisateur a gagné en maturité, en maîtrise de la mise en scène et permet à l'ensemble d'emporter les spectateurs dans un tourbillon d'angoisse et d'empathie."
Première - François Léger - 27 août 2025
- "La voix de Mylène Farmer, excellent choix."
- "D'emblée intrigant et assez malin dans sa vision d'une IA domotique toute-puissante, Dalloway a beaucoup plus de mal à faire exister son univers en dehors de l'appartement de Clarissa. Le film s'enfonce alors petit à petit dans une caricature de thriller complotiste, et Gozlan peine à nourrir le potentiel délire parano de son héroïne."
Les Cahiers du Cinéma - Jean-Marie Samocki - 04 septembre 2025
- "La vague critique politique camoufle pompeusement l'interrogation véritable de Dalloway, qui justifie sa nature de film d'appartement : comment une écrivaine seule dans son bureau se confronte-t-elle à la difficulté d'écrire ? Le cinéaste choisit la voie névrotique : l'écriture révèle une culpabilité qui, en retour, la rend impossible, ce qui revient finalement à ne pas se confronter à la question de l'écriture."
Closer - Justine Boivin - 12 septembre 2025
- "Ce thriller psychologique explore nos angoisses face aux agents conversationnels. Le réalisateur Yann Gozlan réussit, à travers une mise en scène esthétique, à questionner notre rapport à la solitude et notre dépendance à la technologie."
Télé 7 Jours - Julien Barcilon - 15 septembre 2025
- "Vertige, suspense, matière grise en ébullition : le tiercé gagnant de ce thriller en alerte, né d'une intelligence qui, elle, n'a rien d'artificielle."
RTBF - 15 septembre 2025
- "Mylène Farmer imposante, qui prête sa voix au "personnage" de Dalloway"
- "Un film qui nous propose un futur pas si fantastique que ça … mais un film à voir absolument !"
France Info - Laurence Houot - 16 septembre 2025
- "Dalloway nous invite à réfléchir sur l'ambivalence de l'IA, à la fois si pratique et réconfortante, et en même temps intrusive et possiblement au service d'entreprises mal intentionnées. Comment nourrir la bête, jusqu'où la rendre humaine, dans quels desseins ?Toutes ces questions, passionnantes, traversent le film. Décors épurés, lumière et cadrages soignés, c'est dans une réalisation très léchée, ambiance techno aseptisée, que Yann Gozlan déploie ce scénario séduisant, servi par l'interprétation engagée de Cécile de France. Malgré tout, le film ne tient pas ses promesses, et s'enlise dans une mise en scène sans nuances, qui souligne avec lourdeur chaque épisode de l'intrigue, tuant dans l'œuf toute surprise."
Le Figaro - Olivier Delcroix - 16 septembre 2025
- "C'est Mylène Farmer qui incarne la voix de l’IA Dalloway. L’interprète de Désenchantée module son timbre à la perfection, tantôt neutre et réservé, tantôt suave, enveloppant, voire maternel.
- "Derrière l’éternelle problématique de l’humanisation grandissante des machines, si bien résumée par Philip K. Dick dans son roman Les Androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? (adapté sous le titre Blade Runner par Ridley Scott, en 1982), le film de Yann Gozlan s’interroge sur la capacité de l’intelligence artificielle à pouvoir ressentir des émotions afin d’en tirer une création artistique originale. Le final de Dalloway, inattendu et dérangeant, ne manquera pas de surprendre les spectateurs." (3/4)
Télé Star
Télé 7 Jours
Le Parisien
Télé 7 Jours
20 Minutes Suisse
Télé Magazine
France
Paris-Périphérie
1er jour France
1er jour Paris-Périphérie
sources : CBO Box-office / jpbox-office
