Les années Cendres de lune

Lazer - M6, le 01/05/1987

Maman a tort, c’était une façon de parler d’amours étranges qu’on peut avoir quand on est adolescente ou adolescent, rencontrer une personne… Et c’est vrai que là, c’était un domaine hospitalier avec une infirmière, c’est une projection, comme ça, de la mère. C’est un amour interdit qu’on peut avoir avec une personnalité féminine, pourquoi pas.

Lazer - M6, le 01/05/1987

Je sais pas si c’est réellement agressif (les paroles de la chanson On est tous des imbéciles, NDLR)… C’est certainement provocateur. Et moi j’aime bien mettre en exergue cette phrase qui disait : « On est tous des imbéciles, mais ce qui nous sauve c’est le style ». Et je pense que c’est vrai !

Lazer - M6, le 01/05/1987

Le générique d’un clip lui-même, c’est tellement une histoire ! C’est la concentration de tout un tournage. Et je trouve très beau un générique en cinémascope !

Lazer - M6, le 01/05/1987

Je préfère taire les circonstances (à propos de la dédicace du clip Tristana à son père, NDLR) parce que là, j’ai beaucoup de pudeur à cet égard. C’est vrai que de mettre ça sur un écran, « A Papa », c’est un paradoxe mais j’avais envie de le faire.

Lazer - M6, le 01/05/1987

J’ai appris le russe en seconde langue, donc, à l’école. J’en ai oublié quasiment la totalité, si ce n’est les bases : j’arrive à relire le russe, donc l’alphabet.

Lazer - M6, le 01/05/1987

J’adore cette langue, j’aime ce pays et c’était une façon, comme ça, de rendre hommage à ce pays et de retrouver des personnages qui sont réellement russes dans ce clip Tristana.

Lazer - M6, le 01/05/1987

C’est vrai que Tristana est plus un nom espagnol et moi quand je pensais Tristana, je pensais russe, mais en fait il faudrait dire « Tristania » !

Lazer - M6, le 01/05/1987

C’est Blanche-Neige et les sept nains transposé en Russie, avec de la violence, avec un romantisme poussé à l’extrême. C’est tout ce que j’aime.