Les années Innamoramento et Mylenium Tour
Wit FM, le 06/04/1999
Les disques collector demandent un énorme travail, demandent aussi beaucoup de moyens quant à la réalisation. Donc, après, c’est un choix. C’est vrai que là, sur ce collector, j’ai passé d’abord beaucoup de temps, mais ce qui n’explique pas, là, le coût de cet objet… parce que ça, peu m’importe… mais d’un point de vue technique et d’un point de vue qualité, c’est quelque chose qui vaut beaucoup d’argent. |
Wit FM, le 06/04/1999
J’aime le vin ! |
Wit FM, le 06/04/1999
Je ne crois pas, là, qu’il y ait de règle. Maintenant, plus vous avez du temps et plus c’est confortable, en tout cas en termes de répétitions, d’évolution et de construction. Le spectacle précédent, je l’ai fait en très, très peu de temps et ça a été très ardu. Sur celui-ci, je vais prendre un peu plus de temps pour la construction, justement. |
Alouette Star - Radio Alouette, le 16/04/1999
Nous avons pris… je dis « nous », c’est Laurent Boutonnat et moi-même… avons pris nos bagages, un avion. Nous nous sommes installés à Los Angeles. Et c’est là qu’est né cet album, comme l’album précédent d’ailleurs, (la même ville. Et puis, ma foi, ça a été un travail de, je crois, six mois. Et puis le studio, l’enregistrement, et enfin le mixage ! |
Alouette Star - Radio Alouette, le 16/04/1999
L’écriture, ce sont des moments qui sont des moments d’isolement. Qui sont parfois difficiles parce qu’effectivement, la page blanche. Mais une page blanche qui ne suggère pas le manque d’idée mais très souvent les conflits avec soi-même, s’autoriser à dire les choses, à les exprimer… |
Alouette Star - Radio Alouette, le 16/04/1999
Le choix de ce titre ? Donc c’est un mot italien qui exprime l’idée du choc amoureux, l’amour, l’amour naissant, qui est évoqué aussi dans l’album. J’ai lu un livre d’un sociologue italien qui s’appelle Francesco Alberoni et qui a écrit, justement, Le choc amoureux. Si je puis le recommander, c’est un livre très, très passionnant, facile à lire de surcroît ! Et donc j’ai eu envie d’exprimer ce sentiment amoureux dans son spectre le plus large. |
Alouette Star - Radio Alouette, le 16/04/1999
Je ne peux pas faire une explication de texte. C’était assez spontané, c’était dynamique. J’aime ce thème ! J’avais déjà une envie d’images, par rapport à ce thème. |
Alouette Star - Radio Alouette, le 16/04/1999
Le tournage s’est passé donc en Chine, Chine populaire, à Beijin, a duré cinq jours, a été assez difficile, parce que beaucoup d’heures écoulées. Les Chinois et le réalisateur chinois est une bête de somme (sic). J’aime le travail, donc quand je dis que c’était difficile, c’est parce que, aussi, les conditions atmosphériques étaient assez pénibles. Mais c’était passionnant, et à chaque fois, des choses différentes à faire ! |
Alouette Star - Radio Alouette, le 16/04/1999
L’espace peut être extrêmement inquiétant. Surtout quand on trouve le vide, qui est obsédant ! Ça va avec le mal de vivre ! Je crois qu’on ne s’en guérit pas… |
Alouette Star - Radio Alouette, le 16/04/1999
Vieillir, ça fait partie des angoisses que j’ai. Le temps qui dépose sur votre visage… Mais pas uniquement sur le visage ! Sur l’âme, sur les sentiments… Oui, ça fait partie de mes obsessions ! |