Les années L’autre… et Dance Remixes
Star Music, le 01/07/1991
Le cinéma, le film, Laurent et moi, nous nous y attelons. Peut-être qu’en septembre, nous pourrons enfin dire « moteur ! ». Je n’en dirai pas plus. |
Star Music, le 01/07/1991
J’ai fait d’autres choix, j’ai d’autres envies. Je ne suis pas prête, le monde me fait trop peur pour lui offrir une vie. |
Star Music, le 01/07/1991
Noyade est un terme que j’affectionne comme la pendaison. |
Star Music, le 01/07/1991
L’Olympia n’est pas la scène qui convient au type de spectacle que je fais. De toute façon pour l’instant je n’envisage aucunement de remonter sur scène. Si le désir revenait, insistant, incontournable, je foncerais ! |
Star Music, le 01/07/1991
La pression est constante, tenace, elle maintient en vie. Ce métier élève sans cesse les surenchères… Mais heureusement que le public légitime tout le reste. L’amour d’autant de personnes a le mérite de nous réconcilier avec nous-mêmes. C’est une noble pression. |
Star Music, le 01/07/1991
Ce qui passe pour des défauts m’apparaît à moi comme les plus belles des qualités. La provocation, la révolte, l’outrance, l’excès. Le tiède m’ennuie et la raison raisonnable me semble trop suspecte pour être honnête. |
Star Music, le 01/07/1991
C’est la chanson d’une rencontre avec un poète, Jean-Louis Murat. J’admirais l’artiste, j’ai aimé l’homme, je ne regrette pas d’avoir fait Regrets, au contraire. |
Star Music, le 01/07/1991
Seule et solitaire, je suis comme je suis. Je suis profondément comme ça. J’appartiens à la race des sauvages réservées, des introverties, ça tombe bien, c’est un mot à la mode. |
Star Music, le 01/07/1991
C’est un sentiment fort. Alors je l’affectionne malgré le caractère douloureux qu’il revêt. Certains êtres ont l’impression d’avoir été trahis mais en définitive, c’est la vie qui nous trahit. La pire des choses c’est de trahir ses rêves, ses idées, son enfance. |
Star Music, le 01/07/1991
J’ai assisté à son dernier concert, au Vélodrome de Vincennes (avec Carol Fredericks et Michael Jones, ndlr). J’apprécie l’artiste. Je devine l’homme et je respecte profondément sa création. Nous sommes différents mais nous ne sommes pas antagonistes. D’ailleurs, nous partageons le même producteur… Thierry Suc. |