Les années Bleu Noir et 2001-2011

Paris Match, le 02/12/2010

J’ai découvert Stromae, ce jeune artiste vraiment original. J’aime beaucoup son titre Alors on danse, sa silhouette, son phrasé et son timbre de voix si particuliers. Il dit des choses graves sur un ton léger.

Paris Match, le 02/12/2010

Je l’ai rencontrée lors d’un dîner et, comme chacun semble le dire, quand on croise le regard bleu de Line… une magie s’opère. C’est une femme belle, décalée et ­charmeuse. Je suis instinctive, le désir l’emporte dans ces moments-là. Son énergie ­vitale est impressionnante. Mais c’est aussi quelqu’un qui doute, c’est imperceptible mais touchant.

Paris Match, le 02/12/2010

J’ai de l’estime pour le courage de tous ceux qui acceptent cette lourde responsabilité de nous gouverner sans abuser de leur pouvoir.

Paris Match, le 02/12/2010

(Le couple idéal ?) Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre : l’intelligence complice.

Paris Match, le 02/12/2010

Comment renoncer à ce et ceux qu’on aime ? Mais je vais devoir ­apprendre…

Paris Match, le 02/12/2010

Quand il s’agit de préparer un spectacle, il ne suffit pas de faire du “couture”, ce n’est pas un défilé de mode. Le créateur doit être aussi ­capable de transposer les costumes pour une scène, qui devront s’intégrer aussi à un décor, à des ­lumières, à un univers afin de rendre le tout homogène. Il faut rencontrer alors des stylistes inspirés et qui ­acceptent de se fondre dans l’univers de l’artiste, afin que celui-ci ne disparaisse pas derrière le costume, justement, mais se sente comme dans un écrin… Je ne suis pas ­certaine que tous les créateurs de mode en soient capables, il faut beaucoup d’humilité…

Paris Match, le 02/12/2010

Tous les livres de Stefan Zweig… le dernier lu étant La guérison par l’esprit, une réflexion sur les pouvoirs de l’esprit et le besoin vital de croire. C’est passionnant.

Paris Match, le 02/12/2010

Mon film culte ? Choix difficile… il y en a plus d’un… mais je vais choisir L’important c’est d’aimer, d’Andrzej Zulawski. C’est sans doute l’un des films qui m’ont le plus troublée. Romy Schneider y est magnifique, sans fard, fragile, tragique.