Les années Innamoramento et Mylenium Tour
Elle, le 06/04/1999
J’ai l’impression qu’on a mis un petit peu plus de temps pour cet album. Je crois six mois. C’est vrai que j’ai mis, moi, plus de temps pour l’écriture. J’avais besoin de prendre mon temps. Il y avait des choses qui avaient sans doute besoin de sortir de moi. Donc, c’est un peu plus long, un peu plus douloureux parfois. |
NRJ, le 06/04/1999
(Pour sortir d’une panne d’inspiration ?) Il faut quitter son papier et sa plume et découvrir d’autres choses pour faire autre chose et y revenir. |
NRJ, le 06/04/1999
Prête à écrire pour d’autres ? Je ne sais pas. J’aime beaucoup Polnareff. |
Elle, le 06/04/1999
J’évite d’être superstitieuse ! |
NRJ, le 06/04/1999
Treize chansons ? C’est un choix, dans le fond. |
NRJ, le 06/04/1999
On ne peut pas ignorer cette actualité en tout cas. |
NRJ, le 06/04/1999
On me parle de l’improvisation sur scène. J’aime la spontanéité, ça, c’est extrêmement important. Mais il faut une somme de travail à l’avant qui est très importante. |
NRJ, le 06/04/1999
(Pour durer ?) Avoir un public qui vous aime. |
NRJ, le 06/04/1999
J’allais dire : « j’ai choisi ce métier ». Non. Je crois que c’est ce métier qui m’a choisie. J’ai besoin de ça. J’ai besoin de parler au travers de mes chansons, de dialoguer. |
NRJ, le 06/04/1999
Quand j’écris, je pense d’abord à ce que je raconte. J’essaye d’y mettre moi-même. Et puis, dans un deuxième temps, mais c’est plus dans des instants comme dans une radio qu’on a une perception qui est tout à fait différente que dans un studio quand on est en mixage. Mais l’autre, je crois, dans le fond est omniprésent. |