Les années Monkey Me et Timeless 2013
Paris Match, le 12/09/2013
Les autoportraits d’Egon Schiele. Aussi effrayants que lucides. |
Paris Match, le 12/09/2013
Dès que j’ai un crayon entre les doigts, je dessine, ça calme mon cerveau… sans cesse en ébullition. |
Paris Match, le 12/09/2013
David est un génie touche-à-tout. Un mystique bouillonnant. Son travail lithographique est remarquable.Tout comme son œuvre cinématographique. J’ai aimé sa façon de m’initier à cette technique. Discrète et rassurante. |
Paris Match, le 12/09/2013
Vincent est un ami. Je le trouve courageux dans le choix de ses rôles. Il grandit avec ses films. |
Paris Match, le 12/09/2013
Pour moi, le cinéma est une parenthèse qui s’est ouverte il y a longtemps et ne s’est jamais vraiment refermée. Là, on peut parler de toile inachevée ! Je ne pense pas qu’il faille avoir confiance en soi pour faire du cinéma. Au contraire. Mais cela passe nécessairement par le regard d’un réalisateur qui en a l’envie. Et un bon script… Malheureusement, Claude Berri n’est plus là… |
Paris Match, le 12/09/2013
Il m’arrive même de rire à mes dépens ! Je ne retiens pas les histoires drôles, ça doit être pour ça qu’on ne me reconnaît pas ce talent. |
Paris Match, le 12/09/2013
Les cons suivent proportionnellement l’évolution démographique, et on prévoit neuf milliards d’habitants sur notre planète en 2050 ! Le problème avec les cons, c’est qu’on est toujours le con d’un autre… Insoluble. |
Paris Match, le 12/09/2013
Je ne suis pas une femme d’adieu. Autre chose, certainement. Une autre vie, je ne crois pas. |
Paris Match, le 12/09/2013
Parfois, l’envie de tout abandonner… Mais je fais de la résistance… Une survivante. C’est ça, je suis une survivante. |
Gala, le 24/11/2013
La fin d’une tournée est toujours un moment extrêmement brutal. C’est un peu comme la fin d’un voyage astral, il faut réintégrer son corps. Le choc est à la mesure des émotions partagées avec le public… Mais aussi avec les musiciens, les danseurs, les équipes, les proches… Il faut du temps pour reprendre le rythme du quotidien. Pour autant, je suis consciente de ne pas vivre une vie tout à fait «normale». Le mot qui me vient à l’esprit, c’est «réapprivoiser» le temps, justement. On ne s’habitue jamais à une telle charge d’émotion. Pendant une tournée, le corps et l’esprit déploient des trésors d’ingéniosité pour trouver la force. A présent, le moment est venu pour moi de lâcher prise… Et ce n’est pas simple… |