Quand j’ai fait le Palais des Sports, qui était réellement ma première scène, les premiers jours, il y avait effectivement ce phénomène de… On a l’impression qu’on est hors du temps, hors de la vie. Et puis, on est très perturbé pendant deux heures. Mais pendant cette période, justement, j’ai souhaité, moi, dormir à l’hôtel par exemple. Donc, c’était une manière à moi de vivre ça, aussi, différemment et intensément. C’est étonnant et c’est très complexe aussi à expliquer ce qu’on peut ressentir sur une scène. J’ai un petit peu de mal à formuler toutes ces émotions. C’est en tout cas une réelle émotion et ce que je sens en tout cas aujourd’hui, je ne le vivrai peut-être pas demain. Et, c’est quelque chose aussi qui angoisse.