On a voulu faire la suite de Libertine, ce qui n’était pas évident ! On a bien pensé la chose. C’est vrai que pour Pourvu qu’elles soient douces il n’était pas évident de proposer la suite de Libertine. Après, c’est une recherche. Pourquoi 17 minutes ? Parce que l’amour commun de Laurent et de moi-même pour le cinéma, pour avoir envie de dépasser peut-être, c’est vrai, une chanson et l’histoire d’une chanson.
Parce que la suite de Libertine : donc ça se passe toujours au XVIIIème siècle.