Je fais partie de ces personnes qui ont un réel paradoxe en elles. Je fuis les lampes et, en même temps, j’ai envie d’aller sous ces lampes, donc, c’est assez complexe à gérer. Maintenant, je ne considère pas la caméra comme étant une amie mais, je l’accepte à mes côtés, spécialement celle de Laurent puisque je ne connais que la sienne, et, ça, c’est une chance pour moi et quelque chose de dangereux, aussi, finalement.