Je ne pourrais pas vivre en Californie éternellement, mais de temps en temps, l’espace, la surdimension, la qualité de vie quotidienne et aussi la perte d’identité, cela fait du bien. S’il faut choisir, c’est quand même Paris. Mais, quand j’y suis revenue, j’ai trouvé la ville plombée, noire d’encre. Le ciel de Californie, c’est tout de même plus sexy