Je lis très très peu de journaux, de magazines, je ne regarde quasiment plus les informations, plus la télévision. Bien sûr, je m’informe quand même de l’actualité, mais néanmoins, il y a quand même une espèce d’overdose d’hémoglobine, d’overdose de violence, de négativité dans le fond, et puis de ce qui empêche la création, aussi.