Je pense qu’il n’y avait pas vraiment préméditation de ma part, si ce n’est que ce sont des élans de vie, des instincts. Mon instinct voulait me diriger vers quelqu’un qui allait effectivement m’apporter des choses autres. J’aime l’idée de la renaissance, de se réinventer tout en ne se trahissant pas soi-même. Et c’est là où Feder a été essentiel dans cet album, c’est qu’il avait le souci de toutes les personnes qui, jusqu’alors m’écoutaient, et qu’il a dit : « Je ne veux en aucun cas trahir ce qu’ils ont aimé, mais apporter quelque chose de nouveau », et c’est ce qui a donné naissance à cet album.