Les années Innamoramento et Mylenium Tour

Elle, le 05/04/1999

J’adore les cimetières, c’est un des endroits dans lesquels je me sens bien. Où que j’aille dans le monde, j’y vais, cela apprend beaucoup sur une culture, un peuple. Ce goût doit me venir de l’enfance. J’ai retrouvé des lettres de ma grand-mère dans lesquelles elle me disait : « Dimanche, je t’emmènerai dans tel cimetière ».

Elle, le 05/04/1999

J’avais un désir presque clinique de cinéma, le désir est toujours là. J’attends qu’un réalisateur ait envie de moi.

Elle, le 05/04/1999

La notoriété, j’aime cet état-là, j’aime qu’on me reconnaisse, j’aime l’idée d’avoir accompli ce petit bout de chemin. C’est vrai que c’est aussi pesant.

Elle, le 05/04/1999

Quand j’ai besoin d’un réel anonymat, je vais le chercher à l’étranger. Je crois que je pourrais vivre à New York, je m’y sens bien. Je peux y marcher dans la rue sans me soucier de savoir si je suis jolie ou si je marche droit, entrer dans un café, des choses toutes bêtes.
On peut toujours faire tout ce qu’on veut, mais c’est dur d’être observée quand on n’a pas envie de l’être.

Elle, le 05/04/1999

Ma vie est essentiellement consacrée à mon travail. Je sors très peu, je vois peu de gens. Je vis comme une recluse. C’est vrai, parfois j’ai le sentiment d’être enterrée vivante. Mais il y a des choses plus douloureuses dans la vie.

Elle, le 05/04/1999

On voudrait tellement que la passion dure, mais la réalité nous contraint à dire que, non, ça ne dure pas.

NRJ, le 06/04/1999

C’est toujours une angoisse énorme et une grande surprise et j’avoue que je suis très heureuse. (à propos de la sortie et du succès du nouveau single L’Âme-Stram-Gram, ndlr)