02 décembre 1989 – 6

La presse n’est jamais indifférente. Je dis quelquefois « malheureusement » parce que c’est vrai que quelquefois ça peut faire du mal. Maintenant, j’ai quand même un recul suffisant pour ne pas être trop égratignée par ça. Mais, moi, j’ai en tout cas ce paradoxe, c’est de lire spécialement les papiers qui font mal. On les relit et on les relit et on les relit et on se demande s’il y a une vérité quelconque. Mais il y a des papiers qui sont tellement méchants que ça en devient drôle, aussi.