03 octobre 2018 – 7

Malheureusement, je crois que nous sommes tous des éponges. Nous nous nourrissons malgré nous de tous ces effondrements et cette violence. C’est très très difficile. Mais là encore, j’ai ce privilège qu’est de faire le métier que j’aime, de pouvoir écrire, de pouvoir extérioriser les choses, de pouvoir me débarrasser de choses trop lourdes. Mais je pense à tout ça bien évidemment. Je subis le monde comme tout un chacun.