04 décembre 1988 – 15

Courir, ce n’est pas quelque chose que je fais avec affection, parce que j’ai plutôt du mal. Mais là, c’est la carotte, comme on dit, qui est au bout, qui est donc cette scène que je vais entreprendre.
Ça peut-être quelque chose de très agréable. Mais c’est vrai qu’au début, on se fait un petit peu violence. Et puis nous avons des corps en repos, et ça c’est terrible de le bousculer ! Je pense qu’on ne peut pas s’arrêter à partir du moment où on y a pris goût. Après c’est quelque chose dont on a besoin aussi !