04 novembre 2015 – 16

Nous sommes notre propre enfer ou notre propre délivrance. Certes, je ne suis pas optimiste, mais je ne suis pas pessimiste non plus, plutôt tragique. L’optimiste s’attache au meilleur autour de lui. A l’inverse, le pessimiste n’envisage que le pire. Le tragique, lui, tâche de voir le réel tel qu’il est. J’essaie de voir le réel tel qu’il est. L’autre en fait partie.