07 mai 2009 – 3

Ceux qui ne m’aiment pas vont forcément trouver ça forcé. Mais même en répétition, ça me prend. Car nous sommes dans un moment de dépouillement, dans la fragilité de l’âme. Un moment de partage avec le public. Je crois que l’émotion passe à travers le piano d’Yvan Cassar, qui est un grand pianiste, et dans les mots. On raconte sa propre histoire et chacun peut inventer la sienne à travers les mots.