J’étais mannequin, j’avais passé trois ans à poser pour des photos, des publicités et à tourner dans des spots télévisés et, au cours d’un dîner, j’ai rencontré Laurent, compositeur passionné de cinéma. Il venait d’écrire Maman a tort et cherchait une interprète. Je n’avais jamais envisagé une carrière dans la chanson. Ma seule expérience du chant était un petit concours gagné quand j’étais enfant.