12 novembre 2015 – 6

La chance que j’ai aussi avec Martin indépendamment de son grand talent, c’est qu’il maîtrise la langue française. Donc quand je lui envoyais mes textes, dès qu’ils étaient finis je lui envoyais, c’était important pour le processus de création, je trouve, il trouvait tout de suite une atmosphère très particulière aux titres. Donc il m’accompagnait dans mes mots avec une atmosphère. Et on a pu comme ça construire l’album.