12 septembre 2009 – 22

L’idée de mort, de ma propre mort, en tout cas l’idée de la mort me terrifie, fait partie de chaque seconde de ma vie. Est-ce que ma propre mort me terrifie, je vais vous dire, parfois oui, parfois non. Parfois, le mot fatalité est plutôt serein, je me dis, bon, ça se fera, de toute façon, c’est inéluctable. Parfois, elle me hante et, parfois, je l’oublie. Là encore, c’est tout et son contraire.