J’ai toujours aimé avoir besoin du gigantesque et du spectaculaire. J’ai besoin de moments d’intimité et c’est ce qu’on a essayé de créer sur ce spectacle, à savoir avec le proscenium et la croix qui est au centre du stade-même et c’est là qu’il y a un vrai vrai partage. Il y a un partage même lorsqu’on est sur une scène frontale mais, vraiment, au milieu sur cette croix, on crée ce moment intime qui, pour moi, est de l’ordre de la communion presque, encore un mot fort, mais, c’est vrai que c’est un vrai vrai moment d’intimité. Malgré le grand nombre, ce grand nombre devient « un », devient quelque chose d’assez exceptionnel pour moi.