13 avril 1991 – 4

J’ai besoin de choses moins tapageuses. La nouvelle Mylène, l’autre, enfin celle vers qui je vais… Au fond, je suis toujours la même. C’est la forme qui change. Je suis beaucoup plus impudique dans cet album que dans le précédent. Le sexe, c’était le rempart. Parler de ce que je ressens dans mon cœur et dans mon âme, c’est de la mise à nu.
Ce sont les même névroses qui me mènent mais traduites autrement. Le pire, c’est que plus les choses semblent s’éclaircir pour moi, plus je me sens envahie de confusion.