15 novembre 1995 – 12

C’est peut-être l’espoir que moi, je me suis attribuée, que la mort n’est pas une fin en soi. Donc en ce sens, si rupture il y a, c’est, j’allais dire, une rupture de l’esprit terrestre et cette envie que d’aller découvrir d’autres choses et d’envisager d’autres choses. Dans le fond, c’est peut-être une envie de spiritualité, tout simplement.