Ce qui n’est pas très compliqué avec Feder, parce que quand on a la musique avec des toplines, avec une mélodie, c’est très simple d’y mettre des mots. Moi, ce que j’aimais bien aussi quand j’écoutais, en fait, il suffit d’écouter trois mesures, trois notes, et tout d’un coup il y a tout de suite une idée qui vient, il y a un paysage, il y a une émotion, donc c’est quelque chose, j’allais dire presque avec facilité, sans effronterie de ma part, mais c’était quelque chose de facile de travailler avec Hadrien. On accepte la complicité, l’anarchie éventuelle, mais malgré tout, il y a quand même un travail de mélodie qui est déjà bien bien planté, implanté. Oui, c’est vraiment un travail complémentaire…