Je pense que ça fait partie de cette notion de désobéissance. C’est-à-dire qu’il faut pour ne pas se trahir s’écouter soi, malgré tout, penser à l’autre, mais en aucun cas n’être régi par la peur ou l’angoisse d’un résultat. Et c’est vrai que dans ces cas-là, je suis plutôt fonceuse, et je crois profondément en ce que je fais, et puis après, ma foi, c’est la chance d’être écoutée ou pas.