En réalité je n’ai jamais aimé les choses collectives. A onze ans, j’ai voulu partir en Angleterre, faire un stage d’équitation mais j’ai vite déchanté en voyant les dortoirs avec quinze lits superposés, la discipline… On nous obligeait à ne parler qu’en anglais, chaque mot en français était pénalisé. Alors… je parlais en russe pour contrarier la femme qui nous hébergeait.