30 mai 1996 – 46

Quand moi j’écris les textes, dans le fond, je ne pense qu’à moi, qu’à ce que je ressens, ce que j’ai envie d’exprimer. Parfois, ce sont des idées ou violentes ou dérangeantes… Mais, là encore, c’est faire abstraction absolument de l’autocensure. Et c’est une liberté pour l’écriture.