Il y a l’angoisse effectivement, non pas du ratage, mais en tout cas de décevoir, c’est toujours quelque chose qui est en moi et, « je peux dormir tranquille », je ne dors jamais tranquille, mais, j’avoue que c’était quelque chose d’extraordinaire pour moi, une émotion incroyable que de savoir, en tout cas quand nous avons ouvert le premier stade de France, d’avoir cette… j’allais dire, nouvelle, c’était une émotion incroyable pour moi. Puis, nous en avons ouvert un deuxième, puis la tournée, parce que la province est importante également…