Naguère, j’ai hanté les cimetières… Il y a toujours quelque chose de fascinant dans le spectacle de la fin, mais le mystère, c’est que la vie ne connaît pas le point final. La fin marque l’aurore d’un monde nouveau, à venir… Maintenant, je suis moins oppressée par la mort. Un, je suis apaisée à l’idée qu’il y ait une vie après. Deux, la notion du « non-attachement » et de « l’impermanence » m’intéresse… Saisir l’instant, accepter les métamorphoses, l’éphémère, le mouvement.