Ça me fascine ! C’est un acte que je pourrais qualifier de beau, et de courageux, certainement. Dans Jardin de Vienne, je parle de quelqu’un qui habille, qui met en scène son suicide. Là, c’est romantique, esthétique même. Quelque part, j’ai une âme suicidaire, c’est à la fois une peur quant à l’au-delà mais aussi une détermination, l’envie de dire « maintenant ça suffit ».