Avril 1999 – 10

J’ai plus de difficultés à exprimer le bonheur, l’idée du bonheur. J’avoue que je n’ai pas de définition. Bien évidemment, je suis capable de rire, de sourire, d’apprécier des moments de la vie qui sont plutôt joyeux. Maintenant, il se trouve que la concentration qu’est un album, concentration de thèmes, fait que je vais plus spontanément vers quelque chose d’un peu plus désespéré. C’est comme ça…