A chaque fois que je m’envisage ou, dans mes pires moments quand je me vois, je me vois comme un nu d’Egon Schiele. J’aime ce peintre profondément, j’aime sa peinture, j’aime sa torture. Je ne me fais pas un compliment quand je m’envisage être un nu, même d’un maître, parce que ce sont des femmes qui sont acérées, qui sont maigres. Voilà comment je peux me voir parfois !