Juillet 1988 – 3

Quand j’étais petite, j’avais, et j’ai toujours, un grand amour pour les chevaux. A douze ans j’avais décidé d’en faire mon métier. J’ai passé plusieurs concours, jusqu’au moment où j’ai compris que la pratique seule ne suffisait pas. Il y avait aussi le côté pédagogique… Et malheureusement, ça ne correspondait pas à ma nature. Alors, j’ai bifurqué, abandonnant la direction chevaline.