Mai 1985 – 2

Je trouve ça assez extraordinaire pour une même chanson (Mylène évoque ici le fait qu’il y ait eu plusieurs interprétations d’une même chanson, ndlr). Je pense que les plus jeunes ont aimé le côté comptine et qu’ils ont utilisé un peu comme un slogan Maman a tort. A l’opposé, d’autres ont aimé ce titre pour son côté tabou « j’aime ce qu’on m’interdit, j’aime les plaisirs impolis ». Enfin, j’imagine que certains ont pu encore avoir une autre interprétation du texte…