A 40 ou 50 ans, je serai très mal. Vieillir me fait très peur. Avec le temps, on ne peut plus vous accorder une certaine fragilité, une certaine innocence. La fuite du temps me persécute et j’ai une boulimie qui me pousse à ne jamais arrêter de bouger… En aucun cas je ne veux penser aux vacances ou songer à autre chose qu’à mon métier.