Les années Désobéissance et Paris La Défense Arena 2019

Le 17/20 - RFM , le 18/12/2018

Je crois que c’est un mix finalement de Désenchantée et de Désobéissance, finalement (à propos des mouvements sociaux en France dont les Gilets Jaunes).

Le 17/20 - RFM , le 18/12/2018

La longévité, aujourd’hui, à l’évidence, c’est compliqué voire impossible. Mais je pense que c’est la faute des artistes, certainement, mais beaucoup des médias. Je crois qu’il y a une uniformité de genre qui est appauvrissante. On ne mise pas, effectivement, sur la longueur, c’est sur le coup, c’est sur des choses éphémères. Je crois qu’on privilégie la forme au fond, et je trouve ça triste, triste pour les auditeurs

Le 17/20 - RFM , le 18/12/2018

C’est ma nature profonde. Je suis quelqu’un de discret, je ne peux pas effectivement me plonger dans les dits réseaux sociaux et dévoiler ce que je fais le matin, le midi, le soir, mais pour autant, je ne condamne pas ceux qui le font. Je crois qu’il y a beaucoup de gens qui sont totalement isolés, et là, je ne parle pas des artistes, je parle de personnes qui écoutent et qui aiment ces artistes et qui ont besoin de savoir les choses. Donc, on va dire que pour l’essentiel c’est Pascal Nègre qui s’occupe de ça, de ces quelques informations…

Le 17/20 - RFM , le 18/12/2018

Je suis heureuse, comblée de savoir qu’ils me retrouveront prochainement, que j’ai beaucoup de chance, que je travaille également beaucoup. J’aime mon métier et j’aime le faire, j’allais dire, bien, en tout cas, ma notion du bien, et il me tarde d’être en juin.

Le 17/20 - RFM , le 18/12/2018

Le vertige n’est pas là, ce n’est pas la quantité, mais c’est plutôt l’enjeu, c’est réussir cette scène, c’est réussir à communiquer, à émouvoir, à donner du bonheur, j’espère. Oui, c’est sûr, c’est toujours une source d’angoisse, bien évidemment, un vertige. On évoque toujours une, le vocabulaire d’aujourd’hui, une fanbase, mais je n’ai jamais ni quantifier ni qualifier. Je sais qu’il y a des personnes qui me sont entre guillemets « fidèles », qui me suivent, mais pour autant, non, c’est toujours une trouille absolue.

Le 17/20 - RFM , le 18/12/2018

C’est une belle rencontre. J’adore cette artiste.

L'Happy Hour FG - Radio FG, le 19/12/2018

Le processus de création est toujours un moment douloureux parce qu’il est parsemé de doutes, mais qu’une collaboration avec Feder rassure énormément parce qu’il a plein d’idées, c’est un laboratoire, c’est quelqu’un de très doué, c’est quelqu’un de passionné, c’est quelqu’un qui fait attention à son public, à mon public, et voilà, c’est une très très jolie rencontre. C’est toujours douloureux, c’est toujours anxiogène, et à la fois, c’est une chance merveilleuse que de pouvoir écrire un album.

L'Happy Hour FG - Radio FG, le 19/12/2018

J’avais très très envie de rencontrer Hadrien, Feder. J’aimais beaucoup son univers, ses titres, sa façon de produire. Je n’ai pas assisté à ses concerts, mais néanmoins, j’ai pu regarder sur le net, comme tout le monde, ses prestations, et voilà, j’avais très envie de le rencontrer, et il se trouve que c’est une très très jolie rencontre. C’est quelqu’un qui a un univers que j’aime beaucoup, quelqu’un qui a à la fois une musique qui est très sexy, je crois qu’il la définit aussi comme ça. C’est sexy, c’est dark, c’est sensuel, c’est sombre parfois, c’est mélancolique… il y a tous les ingrédients qui m’interpellent.