Les citations liées à "Concerts – 2019 Paris La Défense Arena"

JT de 20 heures - TF1, le 30/09/2018

Je vais remonter sur scène, et ce sera le 7 juin 2019. Ça manque forcément, mais là, j’ai senti que c’était le moment où il fallait que je monte sur scène. Un réel besoin. On dit que la musique est un cri primal et je pense… et j’ai besoin de partager tout ça avec le public.

JT de 20 heures - TF1, le 30/09/2018

Nous sommes en train d’élaborer le spectacle avec Thierry Suc, Laurent Boutonnat et beaucoup d’autres. Je ne vous donnerai aucune clé… C’est trop tôt. Mais c’est pour quoi nous avons choisi cette salle qui avait été inaugurée par les Rolling Stones. C’est une très très très belle salle. Et je vais demander humblement au public de venir à moi à Paris parce que je vais rester à Paris. J’avais eu beaucoup de retours sur une scène que j’avais fait à Bercy, un spectacle où on ne voyageait pas, on restait sur place (référence aux concerts Avant que l’ombre… à Bercy en 2006, ndlr)…

Le meilleur des réveils - RFM, le 02/10/2018

J’ai énormément de témoignages, entre autres, mais particulièrement de cette scène à Bercy qui était en 2006 je crois ou 2003, j’ai un problème avec les dates (Avant que l’ombre… à Bercy en 2006, ndlr). Et donc, cette salle (Paris La Défense Arena, ndlr) m’offre la capacité, la possibilité plutôt d’offrir un spectacle qui, je l’espère sera grandiose, en tout cas unique. Et c’est parce que c’est intransportable, et c’est parce qu’on a justement la possibilité dans ce lieu-là, et d’avoir une enceinte complètement fermée donc, on peut accrocher énormément de choses, donc, on peut inventer énormément de choses. Et c’est vrai que malheureusement pour la province, on n’a pas trouvé de salles équivalentes. Donc, c’est vrai que je demande au public de venir à moi pour essayer de leur donner le meilleur de moi-même, et puis une magie, une poésie, j’espère.

Le meilleur des réveils - RFM, le 02/10/2018

Je pense qu’un concert intime comme vous le suggérez est peut-être tout à fait extraordinaire. Maintenant, pour l’instant, mon souhait présent, c’est de faire encore du grand, de l’immensité mais je pense qu’on peut aussi créer tout à fait une intimité dans du très grand, dans de l’immense. Maintenant, est-ce qu’un jour j’aurai l’envie de faire quelque chose comme vous l’évoquez, de plus intimiste, peut-être ? Je vis au jour le jour et le moment présent, et pour l’instant j’ai encore besoin de ce vertige-là.

Laissez-vous tenter - RTL, le 04/10/2018

J’ai, et nous avons choisi – parce que je travaille avec quelques personnes, mon producteur, Laurent Boutonnat et tant d’autres – cette salle parce que j’ai besoin du noir pour entrer en scène. À savoir que comme je vais faire ce concert en juin, il fait jour très tard. J’ai découvert cette salle comme tout le monde lors du concert des Rolling Stones, et j’ai trouvé cette salle absolument magique, à la fois très très grande mais qui donnait l’envie d’une intimité. C’est ce que j’ai ressenti en tout cas et c’est une salle qui est couverte, qui a un toit. Donc on peut, et le noir, et on peut s’amuser avec tout l’aspect technologique que ça représente et qui donne les moyens de quelque chose que j’espère incroyable, grandiose, en tout cas qui me plaira et qui je l’espère plaira aux personnes qui viendront me voir. On a évidemment cherché, et en province, et dans les Stades. Et malheureusement, nous n’avons pas trouvé salle équivalente et, voilà, je demande, c’est vrai au public de venir à moi. J’espère que nous nous retrouverons.

Le 17/20 - RFM , le 18/12/2018

Quand j’envisage une scène et les personnes avec qui je travaille, Laurent Boutonnat, Thierry Suc, etc. etc. On pense toujours à : qu’est-ce que le public aimerait entendre ? Donc, est-ce que dans le mot obligation, on est obligé : oui, de penser au public. Qu’est-ce qu’il a aimé dans le passé comme chansons. C’est important. Donc, est-ce que je suis obligée de le faire ? En tout cas, je m’impose la réflexion. t puis après, on décide, si oui, ça va dans le spectacle. Mais il y a des incontournables, comme Désenchantée, je ne pourrais ne pas le faire. Ni pour moi, et ni pour eux.

Le 17/20 - RFM , le 18/12/2018

Je suis heureuse, comblée de savoir qu’ils me retrouveront prochainement, que j’ai beaucoup de chance, que je travaille également beaucoup. J’aime mon métier et j’aime le faire, j’allais dire, bien, en tout cas, ma notion du bien, et il me tarde d’être en juin.

Le 17/20 - RFM , le 18/12/2018

Le vertige n’est pas là, ce n’est pas la quantité, mais c’est plutôt l’enjeu, c’est réussir cette scène, c’est réussir à communiquer, à émouvoir, à donner du bonheur, j’espère. Oui, c’est sûr, c’est toujours une source d’angoisse, bien évidemment, un vertige. On évoque toujours une, le vocabulaire d’aujourd’hui, une fanbase, mais je n’ai jamais ni quantifier ni qualifier. Je sais qu’il y a des personnes qui me sont entre guillemets « fidèles », qui me suivent, mais pour autant, non, c’est toujours une trouille absolue.