S’il ne s’agissait que de vendre de plus en plus d’albums, j’aurais cédé aux sollicitations de ma maison de disques. J’aurais visé le marché étranger. Jusqu’ici, j’ai refusé parce que je ne veux pas être aimée sans être comprise. Je ne veux pas non plus chanter dans des langues dans lesquelles je ne suis pas capable d’exprimer mes émotions.